Pensée du mardi 5
novembre 2013 (Omraam Mikhaël Aïvanhov
"Bien que la terre soit très peuplée, combien d’angoisses ressenties par les humains viennent de ce qu’ils ont l’impression d’avoir été jetés dans le monde comme dans un désert où ils se trouvent seuls, perdus, sans personne pour répondre à leurs questions et à leurs demandes !
Eh bien,non, ils ne
sont pas seuls, et ils s’en rendront compte le jour où ils prendront
conscience qu’ils font partie d’un tout, que ce tout est vivant et que,
puisqu’il est vivant, ils peuvent avoir sans cesse des échanges avec lui :
s’ils parlent, il y a toujours quelque part des créatures qui les entendent
et qui leur répondent.
Pour tout ce que nous faisons, disons ou demandons, nous recevons des réponses : confirmation ou réfutation, approbation ou condamnation. Le monde invisible est continuellement présent, là, autour de nous. Il nous regarde, il nous écoute et il nous donne toujours des réponses. Son langage, très différent du nôtre, n’est pas facile à comprendre. Mais il nous répond indirectement, que ce soit à travers un être humain, ou un animal, ou un phénomène de la nature. Ils ne savent sans doute pas qu’ils sont porteurs d’un message, et c’est à nous d’interpréter." |
奥姆然·米格·爱凡荷夫 (每日静思2013/11/05,星期二) (空因译)
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A little boy whispering to his mother “What do poets do anyway?” “Oh, honey, they practically do nothing.” “Like the squirrels in our yard?” “Oh, honey, poets aren’t as amusing to watch, though both of them are content to work for peanuts.”
Tuesday, 5 November 2013
Pensée du mardi 5 novembre 2013
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